Si tu ne trouves pas le bonheur de C.Plourde

Publié le par Florence

Si tu ne trouves pas le bonheur,
c'est peut-être que tu le cherches ailleurs...
Ailleurs que dans tes souliers.
Ailleurs que dans ton foyer.

Selon toi, les autres sont plus heureux.
Mais, toi, tu ne vis pas chez eux.
Tu oublies que chacun a ses tracas.
Tu n'aimerais sûrement pas mieux leur cas.

Comment peux-tu aimer la vie
si ton coeur est plein d'envie,
si tu ne t'aimes pas,
si tu ne t'acceptes pas ?

Le plus grand obstacle au bonheur, sans doute,
c'est de rêver d'un bonheur trop grand.
Sache cueillir le bonheur au compte-gouttes:
ce sont de toutes petites qui font les océans.

Ne cherche pas le bonheur dans tes souvenirs.
Ne le cherche pas non plus dans l'avenir.
Cherche le bonheur dans le présent.
C'est là et là seulement qu'il t'attend.

Le bonheur, ce n'est pas un objet
que tu peux trouver quelque part hors de toi.
Le bonheur, ce n'est qu'un projet
qui part de toi et se réalise en toi.

Il n'existe pas de marchands de bonheur.
Il n'existe pas de machines à bonheur.
Il existe des gens qui croient au bonheur.
Ce sont ces gens qui font eux-mêmes leur bonheur.

Si, dans ton miroir, ta figure te déplaît,
à quoi te sert de briser ton reflet ?
Ce n'est pas ton miroir qu'il faut casser.
C'est toi qu'il faut changer !
Charles-Eugène PLOURDE, Une lumière sur mes pas

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M
Je dirais tellement vrai! et si peu appliqué. Le bonheur est une aptitude naturelle pour certains et beaucoup de travail pour d'autres. Eh oui, certains au milieu d'épreuves terribles parviennent à retrouver une joie de vivre... merci pour ce texte, Marlou qui nous montre combien on est en grande partie responsable de son bonheur. Bises salines. Malou
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L
Que de réalité dans ce texte, on devrait souvent lire ces mots pour ne rien oublier et en tirer des leçons<br /> bisous à toi
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L
Oui, très joli.<br /> très vrai, très Toi.<br /> Merci
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K
Extra ce poème et si vrai.<br /> Croire que toujours, ailleurs, l'herbe est plus verte est une erreur.<br /> Le bonheur est de prendre chaque jour comme il vient.<br /> Bises
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R
Hello Florence,<br /> Hé oui ! Un monde d'illusions où chacun s'évertue à présenter des apparences de bonheur... Qu'y-a-t-il derrière le paraître ?<br /> Un jour un provincial chantait les louanges de Paris... à un Titi... Ce dernier lui répondit :<br /> "" Paris, Paris... La ville où l'on chante tout haut et où l'on pleure tout bas...""<br /> On a entendu aussi que :" les chants désespérés étaient les plus beaux..."... Les tragédies ont toujours cours mais il n'est plus de mode de les chanter... Ainsi les souffrances sont ignorées et l'on s'extasie devant les " Peopoleries " Très beau choix. Amitiés Bisous.
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